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Zwicker, Carol
Person

Carol Zwicker is the granddaughter of John McCullough Mill, an engineer from Port Greville, N.S.

Person · 1776-1855

Eva Margaretha Eisenhauer, the daughter of Johann George Eisenhauer and Anna Christina Margaretha Catherine Mosher, was born in 1776. In 1792 she married George Peter Zwicker of Mahone Bay, who as a prominent and prosperous inhabitant of the town, was eventually known throughout Lunenburg County as “King Peter.” The couple had seven children. Eva Margaretha Zwicker died in 1855 and was buried at Bayview Cemetery in Mahone Bay.

Zwicker, George, 1817-1877
Person · 1817-1877

John George Zwicker, the son of John Zwicker and Charlotte Herman, was born at Indian Point in 1817. Zwicker married Eliza Baker in 1843. The couple had two children, George Gabriel and Mary Ann Selina. George Zwicker died at Indian Point in 1877.

Zwicker, John H., 1833-1913
Person · 1833-1913

John H. Zwicker was born in 1833. Active as a shipwright, he opened his own shipyard in Mahone Bay in 1862. In the decades that followed, he emerged as one of the town’s leading shipbuilders, turning out 162 vessels, mostly schooners, but also including several brigantines and barquentines, as well as the full-rigged ship Kinburn. Zwicker died in 1913. Four years later, the John H. Zwicker yard was sold to John McLean & Sons.

Person

Le Père Henri Semery arriva à la paroisse de Pubnico-Ouest le 23 septembre (1909) au soir, avec sa mère (Constance E. Guirard), sa soeur (Mme. Zélie Clément) et son neveu. Natif de France, il était le fils de Henri Semery. Il se fit Spiritain de la Congrégation du Saint-Esprit. Il semble qu'il fit ses etudes théologiques à la maison des Spiritains de Beauvais, department d'Oise, près de Paris. Il vint a Canada et fait deux ou trois ans de ministère ailleurs dans l'archidiocèse d'Halifax. Il partit de Pubnico-Ouest vers la fin de 1920 et s'en alla dans le Maine, quand il devint curé de la paroisse Notre-Dame de la Paix, à Berwick. C'est là qu'il est décédé en 1945.

Comeau, Augustin, 1914-1990
Person · 1914-1990

Augustin Comeau est né à La Butte (Meteghan River), Nouvelle-Écosse, en 1914, fils d'Etienne Comeau et de Jeanne LeBlanc. Comeau a été propriétaire d'un magasin général à La Butte pendant 50 ans et officier des douanes pendant 10 ans. Augustin Comeau est décédé le 9 août 1990. Son épouse, Rosalie LeBlanc le précéda dans la tombe. Il laissa dans le deuil une fille, Jeanne-Marie à la Pointe-de-l'Église et un fils, François à Lower Saulnierville.

Person · d. 1924

Hilaire Valentin Pothier est né le 13 février à Tusket-Wedge (Wedgeport), Nouvelle-Écosse, le fils de Nicolas Pothier et de Scholastique Amirault de Pubnico. Rien n'indique où il aurait acquis ses compétences académiques mais son journal dévoile une capacité d'écriture peu commune dans ces régions acadiennes à l'époque. Il est possible qu'il ait suivi des classes du père Jean-Mandé Sigogne ou d'un des quelques instituteurs ambulants de à l'époque. A l'âge de 25 ans, Hilaire Pothier épousa Justine Pothier, fille de Jean-Baptiste et de Marie-Anne d'Entremont. De cette union vont naître cinq enfants dont trois fils et deux filles. C'est la dernière née, Marie-Evangéline (le 26 novembre 1870), qui va hériter du journal de bord de son père. Hilaire Pothier est décédé le 3 mars 1924 à Yarmouth, N.E.

Person · 1915-1974

Le Dr. Flavien s'est installé dans la maison paternelle après ses études et c'est là qu'il a établi sa pratique en médecine. Sa carrière fut coupée courte par sa mort subite en 1974, à l'âge de 59 ans. Il laissait dans le deuil son épouse Joanne ainsi que trois enfants - Jean-Paul, Claude et Nicole. Comme ses frères et son père avant lui, Flavien est allé faire ses études au " Collège " Sainte-Anne, son alma mater qu'il n'a jamais oubliée. De là il a continué ses études en médecine à l'Université Laval. Après son installation à Sainte-Anne-du-Ruisseau, il s'est engagé dans sa communauté en siégeant sur divers comités et en promouvant la cause acadienne. Flavien était du groupe qui a établi le Club acadien dans son village. Il fut aussi engagé à l'agrandissement et à la modernisation de l'hôpital de Yarmouth.

Person · 1875-

Julie Hamelin est née en 1875 à Deschambault, Québec, fille d'Antoine Damase Hamelin et de Félicité Beaudry. En 1910 elle épousa le Dr. Amédée Melanson et elle déménagea à Sainte-Anne-du-Ruisseau pour y passer le reste de ses jours. Un extrait tiré de l'Evangéline du 12 mai 1921 nous décrit Julie Hamelin comme : " ... une demoiselle d'une haute éducation et très instruite pouvant traiter sur tous les sujets littéraires, ayant une connaissance approfondie dans les beaux-arts surtout la peinture et la musique. Mme Melanson, ... jouit d'une grande popularité dans le monde social comme dans le monde religieux. Des vertus vraiment chrétiennes, sa douceur et sa charité lui attirent l'estime de tous. " Tel que noté plus haut, Julie et Amédée Melanson eurent 5 enfants : Antoinette Raymond, Flavien, Guy et Émile.

Stehelin (famille)
Family

Les fils d'Emile Stehelin seront envoyés chez les Eudistes à l'école Saint Jean de Versailles où Stehelin rencontrera un ancien soldat-ami, le père Gustave Blanche. Vers la fin du 19e siècle les Eudistes en France, comme les autres congrégations enseignantes, vivaient dans l'inquiétude quant à leur avenir étant donné l'attitude anti-cléricale du gouvernement. C'est dans le but de s'assurer un refuge au cas où cela serait nécessaire que les Eudistes acceptèrent l'inviation de fonder un collège en Amérique du Nord, plus precisément à Pointe-de-l'Église en Nouvelle-Écosse. Quelques années après son départ que le père Blanche offrait d'emmener Jean Stehelin, deuxième fils d'Emile âge de 24 ans. Le but du voyage en 1894 était de lui ouvrir des perspectives de travail dans ce jeune pays qu'était le Canada. Mais deux autres enfants Roger et Paul, voulaient suivre leur frère et c'est avec reticence qu'Emile permit à ses trois fils de quitter la France. Éventuellement la famille entière s'embarquait pour coloniser les terres vierges et boisée en arrière de Weymouth en Nouvelle-Écosse, endroit qui fut baptisé la Nouvelle-France. Avant longtemps une colonie de bucherons vit le jour au milieu de la forêt. La famille Stehelin, dont sept fils et trois filles, fut épaulée dans son entreprise par des Acadiens de la région qui travaillaient pour le compte du grand "Français de France". Avec le temps une importante industrie de bois de charpente se dévéloppa et avec les infrastructures portuaires de la ville de Weymouth le bois était facilement expédié. Un train qui fonctionnait sur des raills de bois transportait les gens et les produits forestiers de la Nouvelle-France à Weymouth. Après la mort de son épouse, Emile Stehelin vint s'établir définitivement à Weymouth, laissant son oeuvre dans les mains de ses fils. Mais quelque années après, soit en 1914, ce fut l'appel aux armes et cinq des garçons Stehelin vont s'enrôler dans l'armée française tandis qu'un sixième, Emile fils, fera partie de l'armée canadienne. Après la fin de la première guerre mondiale les Stehelin qui avaient goûté de nouveau à la France décidèrent de s'y installer de façon permanente. Ce fut la dislocation complète de la famille et la Nouvelle-France, devenue propriété d'étrangers, allait tomber en ruines.