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Melanson-Hamelin (famille)
Family

Monsieur Amédée Melanson est né à Corberrie en 1882, le fils de Raymond Melanson, cultivateur, et de Marie LeBlanc. Après son séjour à l'école du village, il entrait au Collège Sainte-Anne pour faire le cours classique. Il réussit son baccalauréat-ès-arts et ès-lettres. Ensuite Amédée s'inscrivit à l'Université Dalhousie où il obtint un degré en médecine et en chirurgie. En 1906 il établit sa pratique de médecine familiale à Sainte-Anne-du-Ruisseau. Le 25 janvier 1910, le Dr. Melanson épousa, à Deschambault, Mlle Julie Hamelin. Julie Hamelin est née en 1875 à Deschambault, Québec, fille d'Antoine Damase Hamelin et de Félicité Beaudry. (Le Père Joseph Émile Hamelin était le frère de Mme Jule Hamelin Melanson). De cette union sont nés cinq enfants : Antoinette (1910), Falvien (1914), Raymond (1915), Guy (1917) et Émile (1918). Antoinette, ou " Ninette " comme on la nommait en famille, la première née, elle naquit le 12 décembre 1910 et à l'âge de 14 ans entrait au couvent des Ursulines à Deschambault, Québec, où elle est morte à l'âge de 16 ans. Raymond et Guy, après leurs études au Collège Sainte-Anne, sont entrés au séminaire des Eudistes à Gros Pin, Québec, et seront tous les deux ordonnés à la prêtrise. Flavien et Émile, après leurs études classiques au Collège Sainte-Anne, sont entrés à l'Université Laval pour compléter leurs cours en médecine et en chirurgie. Le Dr. Flavien s'est installé dans la maison paternelle après ses études et c'est là qu'il a établi sa pratique en médecine. Sa carrière fut coupée court par sa mort subite en 1974, à l'âge de 59 ans. Il laissa dans le deuil son épouse Joanne ainsi que trois enfants - Jean-Paul, Claude et Nicole. Le Dr. Amédée Melanson fut élu membre de l'assemblée législative pour le comté de Yarmouth en 1920. Il est décédé car en 1930, à l'âge de 48 ans.

Saulnier (family)
Family

La famille Saulnier est une des familles pionnières à la Baie Sainte-Marie, Nouvelle-Écosse. René Saulnier, fils de René et de Magdeleine Maillet, est baptisé le 8 septembre 1769 une année après la fondation de la colonie acadienne. Dans la concession de terre de 1785 qui divisait les terres du village de Saulnierville, les noms de Pierre et Simon Saulnier, de Jean-Baptiste Saulnier, père et fils, et de Jean Saulnier figurent sur la liste des concessionnaires. C'est donc eux qui donnèrent leur nom à l'endroit. Ce sont les descendants de ces fondateurs qui furent les créateurs des documents de ce fonds. Comme dans de nombreux fonds de ce genre, nos renseignements sur la vie de ces gens sont limités à des connaissances généalogiques. Nous allons donc présenter cette information pour ce qui a trait à trois générations de cette famille. Damase Saulnier naquit en 1810, le fils de Dominique Saulnier et de Vitaline Boudreau. Il était connu sous le sobriquet de Tom. Pour épouse il prendra Suzanne Melanson, fille d'Henri Benoni, et quatre enfants vont naître de cette union, soit Vincent, John, Adèle et Martin né autour de 1858. Dans la vingtaine, Martin épousa Rose Comeau née en 1862. De cette union vont naître six enfants dont l'aîné, Thomas, naquit en 1885. François, un autre fils né en 1895 va épouser Delina Comeau, fille de Siffroi.

Meuse, Laurent, 1912-1997
Person · 1912-1997

Laurent Désiré Meuse (Muise) naquit à Sainte-Anne-du-Ruisseau le 26 septembre 1912 le fils de Thomas Muis et d'Elizabeth Brown. Le jeune Laurent fut élevé sur la ferme de son père apprenant a maîtriser les tâches quotidiennes de cette profession, mais au même temps il démontrait des aptitudes dans une autre voie, celle de l'Académique. Comme de fait c'est dans l'académique qu'il fera carrière. Il sera le premier garcon de son village a completer la onzième année, ce qu'à l'époque lui permettait d'enseigner. En 1959-1960 il passa une année à l'École Normale de Truro et suiva des cours de perfectionnement à l'Université Mount Allison. Toujours désireux d'apprendre Laurent Meuse suiva des cours à l'Université de Barcelone en 1974 et à l'Université du Mexique en 1975 où il entama des etudes de la langue espagnole. Laurent Meuse a fait la classe à plusieurs endroits aux provinces Atlantiques. Il enseigna à Port-au-Choix (Terre-Neuve) pour sept ans avant de revenir dans son coin natif où il faisait la classe pour deux ans à Abrams' River (village à l'ouest de Sainte-Anne-du-Ruisseau). Par la suite il enseigna à Comeauville (baie Sainte-Marie) avant de s'en aller prendre la direction de l'École de Chezzetcook (comté de Halifax). En 1963-1964 il était directeur de l'Écolse d'Aulac (au Nouveau-Brunswick) mais après cette année il revint en Nouvelle-Écosse pour enseigner dix ans à Ellershouse dans le comté de Hants (N.-É). En juin 1976 il prend sa retraite. Meuse a toujours eu un penchant pour l'histoire, spécialement l'histoire locale. Laurent Meuse et décédé le 19 novembre 1997.

Untitled
Person · 1899 - 1981

Mary Helen Doucette was born Mary Helen Lord in Boston in 1899. Her mother was Mary MacDonald from Port Hood, N.S. Her father was Charles Lord of Baltimore, MD. Mary MacDonald returned to Inverness, NS with her two children and became a housekeeper for the local Parish Priest. Charles Edward Lord, brother to Mary Helen Lord, died in a mining accident in Timmons, Ontario in 1926. In 1918 Mary Helen Lord was accepted as a teacher, and along with two other girls from Inverness, she went to teach at the South Ingonish School Section. There she met John (Jack) Doucette and they were married in 1922. The couple had two children: Leo Keats and Gordon Doucette.
Mary Helen and Jack moved to Boston for some time. They returned to Ingonish when Jack obtained a job in the gypsum mine. The mine closed in 1928 and the family moved to Halifax.
In 1936, Jack, who had been in poor health since having been wounded overseas in WWI, developed TB. Jack had to go into a sanatorium and the rest of the family returned to Ingonish. Mary Helen returned to teaching in Ingonish and Jack was in and out of hospitals until his death in 1956.
Mary Helen was always interested in what was going on in the community and contributed articles to several newspapers. Most of these articles were kept in her scrapbooks. Following her death in 1981, her son Gordon donated the books to The Cabot Archives. On the first page of the first scrapbook, Mary Helen writes, "NOTES OF INGONISH AND ITS PEOPLE FOR MY GRANDCHILDREN".

Comeau Poirier, Léonie
Person

Léonie M. Comeau Poirier est originaire de Meteghan-le-Centre, Nouvelle-Écosse. Après avoir gradué du Collège normal de Truro, elle est devenue principale d’écoles situés dans les comtés de Digby, Richmond, Guysborough, Antigonish et Halifax. Après la mort de son mari, elle est retournée aux études. En 1969, elle a reçu un baccalauréat ès arts de l’Université Saint-Mary’s. Ensuite, elle a suivi des cours aux études supérieures à l’Université Mount Saint Vincent et elle participé à des universités d’été en France. En 1976, elle a obtenu un certificat d’enseignement du niveau 6.

Léonie Comeau Poirier est également devenue auteure, poète, journaliste et dramatiste. En 1985, elle a publié une collections d’anecdotes qui donne un aperçu de la vie familiale d’autrefois dans un recueil intitulé. My Acadian Heritage. Elle a également publié des textes dans Le Petit Courrier, Axion Magazine, Bluenose Magazine, The Canadian Author and Bookman, The Halifax Mail-Star, Dartmouth Free Press et bien d’autres. Mme Comeau Poirier était membre de, ou impliquée dans, plusieurs associations, dont le Writer’s Federation of Nova Scotia, The Dramatist Co-op, la branche néo-écossaise du Canadian Authors Association, The Heritage Trust Society, l’Alliance Française, la N.S. Teacher’s Union, la Société Historique de la Baie Sainte-Marie ainsi que la Fédération Acadienne de la Nouvelle-Écosse.