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Joan (Bourque) Campbell
Person · 1931-1992

Joan (Bourque) Campbell R.N., B.A., M.A., C.G. 1931 – 1992 Joan (Bourque) Campbell était toujours très fière de son héritage acadien et passait la plupart de sa vie à promouvoir la reconnaissance de l'histoire acadienne, en littérature et en généalogie. Déjà une garde-malade, elle recevait un bac en art avec honneur en 1978 à l'Université de Dalhousie et une maîtrise en littérature acadienne en français en 1981. En 1988 elle devient un Généalogiste Certifier (Canada) pour les familles acadiennes. Après des années de recherche, elle écrit et publie trois livres : La Famille Bourg-Bourque, de Port-Royal à Saint-Anne-du-Ruisseau, 1609-1969 (Yarmouth : Lescarbot, 1982) L'Histoire de la Paroisse de Sainte-Anne-du-Ruisseau (Eel Brook) (Yarmouth : Lescarbot, 1985) qui était son village natal. Donald Campbell, Ducan Campbell and « Coach » Sutherlands : Sutherlandshire dans le Comté de Pictou. (Yarmouth : Lescarbot, 1987 Une quatrième publication, « The Seigneurs of Acadie History and Genealogy » (L'histoire des seigneurs de l'Acadie et leur généalogie), avec lequel elle a dévoué les cinq dernières années de sa vie, a été un ouvrage posthume dans la série en anglais. Les Cahiers de La Société Historique Acadienne. ( Vol.25, No.4 et Vol.26, No. 1- 4 1994 – 1995, Moncton, N.B.) Joan était capable de persévérance avec ses accomplissements et ses publications dans la grande mesure à cause qu'elle possédait l'esprit acadien en abondance. D.Robert Campbell

Corporate body

La Societe l'Assomption Moncton, N.B. La Societe (Mutuelle) l'Assomption est fondee a Waltham, Massachusetts, le 8 septembre 1903. Son siege social est actuellement situe a Moncton, N.B. Cette societe est nee pour combler le besoin d'une organisation nationaliste visant a unifier le peuple acadien. Selon Desire d'Eon, la Societe Mutuelle l'Assomption fut fondee lors d'un congres acadien et a sa troisieme convention, a la Pointe-de-l'eglise, en 1907, M. Willie Comeau de Comeauville fut elu second vice-president. a ses debuts, la Societe l'Assomption est avant toute une societe d'entraide. L'assurance-vie, comme moyen de progres economique, ne fait son apparition qu'en 1914. Les avantages sociaux et economiques permettent a la Societe d'augmenter ses effectifs tres rapidement. En 1910, elle compte plusieurs milliers de membres repartis dans 97 succursales, dont la succursale d'Eon 82.

Corporate body · 1937-

Le Petit Courrier was founded in 1937 by a board of 12 directors in order to provide the people of southwest Nova Scotia with an opportunity to read French. It began as one page of local news. The Digby Courier printed the first copy on February 10, 1937. By May, the Yarmouth Herald had taken over the task of printing Le Petit Courrier. It continued to be printed in Yarmouth until it was moved to West Pubnico in January 1939. Le Petit Courrier was printed and published in West Pubnico for the next thirty years. In 1970-1971, the Acadian Federation of Nova Scotia purchased Le Petit Courrier to use as a means of communication. The company L'imprimerie Lescarbot Ltée bought the newspaper and its name was changed to Le Petit Courrier de la Nouvelle-Écosse. In October 1977, the name was changed again to its current name Le Courrier de la Nouvelle-Écosse. Its new mandate was to develop links between the francophone and Acadian communities of Nova Scotia and to promote their interests. In 1987, the Féderation Francophone (Acadienne) de la Nouvelle-Écosse became the new owner of Le Courrier de la Nouvelle-Écosse.

LeBlanc, Benjamin, 1880-1942
Person · 1880-1942

Benjamin LeBlanc est né au Petit Ruisseau vers 1880, fils de Jean Augustin LeBlanc et Philomène Comeau. Benjamin épousa Émelie LeBlanc, fille de Charles L. Comeau et Marguerite Comeau, en 1907. De cette union sont nés cinq enfants, un fils, Adolphe et quatre filles, Régine, Anita, Irène et Yvonne. M. LeBlanc est décédé en novembre 1942 à l'âge de 62 ans. Il laissa dans le deuil son épouse, ses enfants, trois soeurs, le Rev. Soeur Eugénie (Délina), Mme Léonard d'Entremont et Marie Marthe, et deux frères, Irenée et Resther.

Person · 1870-1935

Edouard Alfred LeBlanc naquit le 15 octobre 1870 à Saint-Bernard, Nouvelle-Écosse, le fils de Luc LeBlanc et de Julie Belliveau et le dernier enfant né de cette union. Edouard-Alfred commença ses études dans l'école de son village natal d'Ohio où le gouvernement avait récemment construit une nouvelle école. Il est probable que par après il suivit des classes à Weymouth puis à La Butte (Meteghan River) car à l'âge de 19 ans (en 1889) il entra au Collège Saint-Joseph de Memramcook. Lorsque le Collège Sainte-Anne ouvra ses portes à Pointe-de-l'Église en 1891, Edouard Alfred changea d'institution et devint élève de la première classe des gradués de Sainte-Anne. A l'ouverture du séminaire du Sacré-Coeur à Halifax en 1895, par les Eudistes Edouard Alfred s'y inscrivit et passa 4 années en études théologiques. Le 29 juin 1898, à l'âge de 27 ans, il recevait, avec son cousin Désiré Comeau, l'onction sacerdotale des mains de Mgr. Cornelius O'Brien, archevêque d'Halifax. Ces deux jeunnes hommes furent les premiers Acadiens de la Baie Sainte-Marie à être ordonnés à la prêtrise. Après un stage de 3 ans comme vicaire à Meteghan, le père LeBlanc fut nommé à la cure de plusieurs paroisses du diocèse d'Halifax, notamment Caledonia, Rivière-aux-Saumons et Saint-Bernard. C'est lors de son séjour dans sa paroisse natale qu'il organisa la construction d'une imposante église en pierre qui devait prendre 32 ans à compléter. En 1912, le Vatican nomma Edouard Alfred LeBlanc évêque du diocèse de Saint-Jean au Nouveau-Brunswick, le premier acadien à être élevé à la dignité épiscopale. Cette nomination vint après plusieurs années de revendications par le leadership acadien de l'époque qui s'était donné la mission de voir l'un des leurs introniser sur un siège épiscopal aux provinces Maritimes. Lors de son séjour comme évêque, Mgr. LeBlanc sera responsable de la fondation de la paroisse l'Assomption à Moncton, de la fondation d'une congrégation religieuse d'enseignantes (les religieuses de Notre Dame-du-Sacré-Coeur) et sera un des meneurs dans la lutte pour la nomination du deuxième évêque acadien, Mgr. Patrice Alexandre Chiasson. Mgr. LeBlanc est mort le 17 février 1935 aprés 23 ans à la tête du diocèse de Saint-Jean. Son décès causa un profond deuil au sein de la société francophone car sa nomination à l'épiscopat avait été le moment longtemps attendu dans la lutte pour l'acadianisation de l'église catholique aux provinces Maritimes.

Person

Elie LeBlanc est né à Meteghan, Nouvelle-Écosse, le 11 novembre 1897, fils adoptif d'Urbain LeBlanc, charpentier, et de Marie Robichaud. Il était l'aîné de la famille; il avait une soeur, Lizzie et un frère, Lennie. En 1911, Elie LeBlanc est entré au Collège Sainte-Anne où il fit ses études classiques. Plus tard, il s'est rendu au grand séminaire d'Halifax. Le 17 juin 1923 il fut ordonné prêtre par Mgr. S.G. Chiasson et le 24 juin il a célébré sa première messe solennelle. Père LeBlanc était le 4e prêtre que la paroisse de Meteghan donnait à l'Église catholique romaine. Il fut vicaire à Meteghan jusqu'au 15 juillet 1928, c'est-à-dire qu'il a passé cinq années au service du curé Mgr. Côté. Les paroissiens sont tristes, mais ils félicitérent Père Elie LeBlanc lorsqu'il. Il put nommé curé de Chezzetcook, une des paroisses la plus importante du diocèse d'Halifax, où il compléta l'intérieur de l'église en 1929. Le 1er août 1937, le Père LeBlanc fut nommé curé de la paroisse de St. Bernard. Mgr LeBlanc est décédé le 18 septembre 1873 à Meteghan, et sa dépouille a été inhumeé au cimetière d la parsisse Saint- Bernard.

Person · 1890-1957

Dr. Joseph-Emile LeBlanc naquit à la Pointe-de-l'Église, Nouvelle-Écosse, en février 1890. Il était le fils d'Isaac LeBlanc, greffier de la municipalité de Clare, et d'Aimée Bourneuf, petite-fille de François Lambert Bourneuf. Il était d'une couche de triplet et d'après un carnet du père Isaac, découvert après sa mort, Charlotte et Madeleine seraient nées le lendemain. LeBlanc fréquenta d'abord l'école du village, puis entra au Collège Sainte-Anne pour y faire ses études classiques, obtenant son baccalauréat ès arts en 1910. Il s'inscrivit la même année à la faculté de médecine de l'Université Dalhousie, Halifax, et obtint son M.D en 1915. La région de Pubnico était à la recherche d'un médecin francophone. Il s'y rendit, s'y établit et y pratiqua la médecine jusqu'à son décès survenu en septembre 1957. À Pubnico, il rencontra Jeannette d'Entremont, institutrice, fille de James et Elizabeth-Anne d'Entremont et l'épousa en 1919. De cette union naquirent cinq enfants: Roseline, Maurice, Corinne, Paul-Emile et Simone. En plus de se livrer à la pratique de la médecine, il se donna corps et âme à la defense et à la promotion de la cause acadienne. La Société Mutuelle l'Assomption, fondée à Waltham, Massachusetts, en 1903, avait établi des succursales dans la plupart des communautés acadiennes du sud-ouest de la Nouvelle-Écosse. Il dirigez l'Assomption dont le siège social était maintenant fixé à Moncton, N.-B. En 1924, il obtenait une maîtrise-ès-arts du Collège Sainte-Anne et, en 1955, un doctorat honorifique en littérature de la même institution. En reconnaissance de ses efforts envers la promotion de la langue française, il reçut plusieurs décorations.

Person · 1915-1983

John (Jack) Lester Jr. naquit à Pottstown en 1915, fils de John et de Winnie Lester. Il fit ses études à l'Université Harvard et en 1946 il fut nommé professeur du département d'anglais au Collège Haverford en Pennsylvanie. L'intérêt de Lester envers le père Jean-Mandé Sigogne fut suscité suite à des vacances d'été que Lester et son épouse Wendy passaient à Wedgeport, Nouvelle-Écosse. Déjà en 1956 Lester prévoyait la publication d'un livre destiné, aux jeunes mais un refus par une compagnie d'édition mit fin à ses recherches en 1960. En 1971, lors d'un congé sabbatique de son institution Lester reprit son travail sur le père Sigogne avec une nouvelle intensité. Dans le but de connaître la vie de Sigogne avant son arrivée en Nouvelle-Écosse. Lester visita Londres où Sigogne vécu en exil, et il visita également le lieu de sa naissance en France. Ses recherches vont s'arrêter une deuxième fois en 1973 en partie à cause d'autres engagements et peut-être à cause du découragement que lui apportait le manque de renseignements sur son personnage. La parution d'un article de Dom Guy Oury en 1976 intitulé Les débuts du missionnaire Sigogne en Acadie inscrita Lester à poursuivre de nouveau ses recherches, ce qu'il fit lors d'une sabbatique à l'automne de 1980. En 1981, il prit sa retraite mais continuait son travail et ses recherches sur Sigogne. Au mois de mars 1983 John Lester, fils, mourra soudainement avant qu'il puisse publier son manuscrit J.M. Sigogne, The Missing Years. Les documents de la collection répresentent le fruits de vingt-cinq ans de recherche (1956-1982) sur la carrière européenne de l'Abbé Jean Mandé Sigogne. John A. Lester Jr. est mort en 1983.

Lombard, John D., 1845-1911
Person · 1845-1911

John (Johnnie) D. Lombard, le fils de Jean-David Lombard et d'Elizabeth Gaudet, naquit au Petit-Ruisseau, Nouvelle-Écosse, en 1845, le quatrième de six enfants nés dans cette famille. Paul Lombard, le grand-père de Johnnie, était venu s'installer au Petit-Ruisseau pendant les guerres napoléonniennes. John D. Lombard va se marier à deux fois et du deuxième lit avec Maggie LeBlanc 7 enfants vont naître, soit Céleste, Lizzie, Edith, Marie, Rosie, Adolphe, et Hélène. Monsieur Lombard était entrepreneur et il décida de fonder une entreprise au Petit-Ruisseau qui offrait des services d'hotellerie en plus que la vente d'une variété de denrées. Il est difficile à déterminer la date d'ouverture de son commerce mais nous savons que le propriétaire annonçait la vente d'épicerie et de marchandise générale (blé, mélasse, sucre, thé, tabac) dans le journal L'Évangéline au début de l'année 1888. L'hôtel/magasin de Monsieur Lombard (l'hôtel Lombard) était également un lieu de rencontres sociales pour les gens de la région. John Lombard est mort en 1911 à l'âge de 66 ans.

Melanson, Albert, 1906-1977
Person · 1906-1977

Albert Melanson naquit le 28 juillet 1906 à Pointe-de-l'Église, Nouvelle-Écosse, fils de Charles et de Emelie Lombard, le deuxième d'une famille de 11 enfants. Après une formation à l'école du village il entra au Collège Sainte-Anne dans les 1920 où il réussit un cours commercial comme l'avait fait son père. En 1961, il épousa Catherine Comeau, fille d'Edmond (à Mandé) et de Béatrice Comeau. Le couple n'eut pas d'enfant. A un jeune âge Albert Melanson fut atteint de la tuberculose et il abandonna l'institution en 1924 pour être admis au sanitorium. Peu de renseignements sont disponibles quant à ses activités une fois revenu de l'hôpital mais il se peut qu'il travailla à l'usine de son père, la Melanson Gum Factory. Néanmoins, nous savons qu'il fut employé un certain temps chez la compagnie d'Ameublement Jubis Brothers de Meteghan avant d'être nommé maître de postes à Pointe-de-l'Église en 1956. Il pritsa retraite en 1971 à l'âge de 65 ans. Il fut préfet de la municipalité, membre de la commission scolaire, membre du Festival acadien de Clare, membre du Club La Jardinière, et du Club social de Clare. Il était actif au sein d'organisations nationales telles la Société du Cancer et la Croix Rouge, région de Clare. Il était un vaillant promoteur de l'histoire et de la culture locales et sous ce volet il a accompli beaucoup en tant que photographe et correspondant pour des journaux régionaux, soit Le Chronicle Herald, le Vanguard, le Digby Courrier et Le Courrier de la Nouvelle-Écosse. Albert Melanson est mort en 1977.