Zone du titre et de la mention de responsabilité
Titre propre
Dénomination générale des documents
- Document textuel
Titre parallèle
Compléments du titre
Mentions de responsabilité du titre
Notes du titre
Niveau de description
Cote
Zone de l'édition
Mention d'édition
Mentions de responsabilité relatives à l'édition
Zone des précisions relatives à la catégorie de documents
Mention d'échelle (cartographique)
Mention de projection (cartographique)
Mention des coordonnées (cartographiques)
Mention d'échelle (architecturale)
Juridiction responsable et dénomination (philatélique)
Zone des dates de production
Date(s)
-
1855-1969; surtout 1896-1968 (Production)
- Producteur
- Benjamin J. Belliveau & Cie (Digby County, N.S.)
Zone de description matérielle
Description matérielle
5,49 m de documents textuels
Zone de la collection
Titre propre de la collection
Titres parallèles de la collection
Compléments du titre de la collection
Mention de responsabilité relative à la collection
Numérotation à l'intérieur de la collection
Note sur la collection
Zone de la description archivistique
Nom du producteur
Histoire administrative
Urbain Belliveau est le vrai fondateur de la compagnie Benjamin J. Belliveau. En 1883, Urbain ouvrit à son compte un magasin, à l'Anse-des-Belliveau et, en 1887, il se construisit une goélette pour le commerce des Indes Occidentales. Il la nommait L'Urbain B. Son magasin fit en moyenne des affaires pour 8 000$ par année, en farine seulement, et 3 000$ en autres marchandises. En 1892, M. Belliveau s'est fait construire un quai à ses frais, qui lui coûta 2 000$. Deux ans plus tard, les flammes ont détruit son magasin avec toutes la marchandise. Ce fut une lourde perte car il n'y avait pas un sou d'assurance, mais un nouvel édifice beaucoup plus spacieux que l'ancien vint bientôt le remplacer. En 1887, Urbain confia la gérance de son commerce à son plus jeune fils, Benjamin, et en fit en même temps son associé. Benjamin est donc le second grand meneur de l'entreprise et, en 1898, le commerce qu'il gère pour son père depuis onze ans, commence à porter son nom. Suivant la mort de son père en 1897, il fut joint par ses frères Charles et Joseph comme associés. Elle consistait alors d'un chantier de construction navale, d'une flotte de goélettes, d'un magasin, d'une scierie et d'un commerce d'expédition du bois. Suite à la mort de Benjamin en 1930, c'est Gilbert Belliveau qui gère les affaires de la compagnie. Durant sa gérance, la Compagnie Ben J. Belliveau s'est occupée principalement de l'expédition du bois. En plus, il opère à son propre compte, une ferme de renards dans les années 1938 à 1945. Urbain, Benjamin et Gilbert Belliveau étaient les dirigeants principaux de l'entreprise. Notons cependant que d'autres individus ont eu des parts dans la compagnie. Durant la gérance de Benjamin, ses frères aînés, Charles et Joseph, avaient des parts égales avec Ben et travaillaient dans autres rôles avec lui. Pendant la gérance de Gilbert, Wilfred à Ben et Charles à Urbain avaient tous des parts. Enfin à la mort de Charles en 1942, son testament lègue sa part de la compagnie également à ses deux fils Gilbert et Basile. Cet état est demeuré jusqu'à vers la mort de Gilbert en 1970 quant l'entreprise mis fit à presque toutes ses activites. La fonction de Wilfred fut toujours de garder le magasin. Basile le plus jeune et le dernier des associés, est arrivé au début des années trente après avoir contracté la tuberculose et il a dû s'occuper des comptes du bois.
Historique de la conservation
Les documents constituant le fonds Benjamin J. Belliveau & Cie ont été organisés par René Belliveau en 1995. Un partie de ces documents furent sauves par son père Basile vers 1969, des l'abandon de la compagnie. Basile apporta en même temps les documents relies de la compagnie a l’Université Sainte-Anne. Une grande quantité de documents non-relies furent récupérés par René de l'ancien magasin de la compagnie en juin 1994. Ces documents ont été remis au Centre acadien en septembre 1995. Puisque les documents datent du 19e et surtout du 20e siècle, ils sont généralement en bon ordre, mais quelques-uns éprouvent un peu de détérioration, mais rien qui menace les documents dans le moment.
Portée et contenu
Le fonds se compose de : Série A - Magasin; Série B - Compagnie de bois; Série C - Goélettes; Série D - L’entreprise; Série E - Contrats, ventes de terres et testaments; Série F - Collection de livres
Zone des notes
État de conservation
Source immédiate d'acquisition
Classement
Langue des documents
- anglais
- français
Écriture des documents
Note de langue et graphie
En francais et en anglais.