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Authority record
Corporate body · 1937-

Le Petit Courrier was founded in 1937 by a board of 12 directors in order to provide the people of southwest Nova Scotia with an opportunity to read French. It began as one page of local news. The Digby Courier printed the first copy on February 10, 1937. By May, the Yarmouth Herald had taken over the task of printing Le Petit Courrier. It continued to be printed in Yarmouth until it was moved to West Pubnico in January 1939. Le Petit Courrier was printed and published in West Pubnico for the next thirty years. In 1970-1971, the Acadian Federation of Nova Scotia purchased Le Petit Courrier to use as a means of communication. The company L'imprimerie Lescarbot Ltée bought the newspaper and its name was changed to Le Petit Courrier de la Nouvelle-Écosse. In October 1977, the name was changed again to its current name Le Courrier de la Nouvelle-Écosse. Its new mandate was to develop links between the francophone and Acadian communities of Nova Scotia and to promote their interests. In 1987, the Féderation Francophone (Acadienne) de la Nouvelle-Écosse became the new owner of Le Courrier de la Nouvelle-Écosse.

Melanson, Chester, 1940-
Person · 1940-

Chester Melanson est né le 26 juin 1940 à Meteghan, Nouvelle-Écosse, fils d'Albert Melanson et d'Alfreda Saulnier. M. Melanson à fait ses études au Sacred Heart Academy, Meteghan; a l'École Supérieure de Clare, Meteghan River; et à l'Université du Nouveau-Brunswick où il obtenu un BA en Éducation Physique.
Le 21 février 1964, Chester épousa Valérie White, fille de Marc White et de Nina Keddy. De cette union sont nés trois garçons: Michael, Kevin et Noel.
De 1962 à 1974 Chester Melanson fut professor d'éducation physique du niveau élémentaire de toutes les écoles de Clare et de 1975 à 1976 au niveau secondaire, à l'École Supérieure de Clare. Durant ses 14 ans comme professeur d'éducation physique, il a servi comme instructeur pour les sports suivants: course cross-country, basketball, volleyball, athlétisme, et lutte olympique. En 1976, il fut nommé directeur des sports à l'Université Sainte-Anne. Il fut aussi directeur des affaires étudiantes, directeur des résidences et directeur athlétique.
Au cours des années, M. Melanson a fait partie de plusieurs organismes: membre de l'Association d'Éducation Physique du Comté de Lunenburg (1962-1974), président (1968-1969); membre de International Association of Approved Basketball Officials Board 154 (1968-1974); un des fondateurs et membre des directeurs de la New Ross District Museum Society; président du Ross Farm Museum, membre du club des Richelieu depuis 1975, vice-président (1976-1977); membre des Chevaliers de Colomb; fondateur du Conseil de l'Église catholique de Saint Patrick de New Ross.

En 1982 M. Melanson a été élu à la législature pour représenter la circonscription de Clare. M. Melanson vit présentement avec sa deuxième épouse, Rosalie.

Doucet, Alain, 1929-
Person · 1929-

Alain Doucet naquit à Petit Ruisseau, Nouvelle-Écosse, le 16 décembre 1929, fils aîné d'Emile et de Zélée Doucet. Après ses études à l'école du village il entra au Collège Sainte-Anne en 1945 et en 1950 il gradua avec son baccalauréat ès arts. L'année suivante, il s'inscrivit à l'Université Saint-François-Xavier au programme de baccalauréat en éducation. En 1961, le Collège Sainte-Anne lui décerna le grade de maîtrise ès arts, suite à la présentation d'une thèse en ethnologie qui sera la base de son livre paru en 1965 et intitulé La littérature orale de la Baie Sainte-Marie. Alain Doucet consacra sa vie professionnelle à l'éducation. Il enseigna premièrement à Weymouth où il fut directeur d'école pendant trois ans. Par la suite, il fut nommé directeur de l'école de Comeauville, et au moment de son décès, le 28 janvier 1966, il était directeur adjoint de l'École supérieure de Clare, poste qu'il détenait depuis 8 ans. Très actif dans le domaine de l'éducation au niveau des activités extracurriculaires, Alain Doucet a toujours demontré un vif intérêt à connaître davantage le groupe ethnique dont il faisait partie. C'est pourquoi il s'est lancé sur une étude folklorique de son milieu. L'oeuvre que publia les Éditions Ferland en 1965 demeure l'étude ethnologique la plus exhaustive sur les Acadiens de la Baie Sainte-Marie et a grandement contribué à la préservation du patrimoine folklorique acadien de la Nouvelle-Écosse. Alain Doucet laissa dans le deuil son épouse, Camillette (née Comeau) ainsi que deux enfants, Adrienne et Joël.

Corporate body

Urbain Belliveau est le vrai fondateur de la compagnie Benjamin J. Belliveau. En 1883, Urbain ouvrit à son compte un magasin, à l'Anse-des-Belliveau et, en 1887, il se construisit une goélette pour le commerce des Indes Occidentales. Il la nommait L'Urbain B. Son magasin fit en moyenne des affaires pour 8 000$ par année, en farine seulement, et 3 000$ en autres marchandises. En 1892, M. Belliveau s'est fait construire un quai à ses frais, qui lui coûta 2 000$. Deux ans plus tard, les flammes ont détruit son magasin avec toutes la marchandise. Ce fut une lourde perte car il n'y avait pas un sou d'assurance, mais un nouvel édifice beaucoup plus spacieux que l'ancien vint bientôt le remplacer. En 1887, Urbain confia la gérance de son commerce à son plus jeune fils, Benjamin, et en fit en même temps son associé. Benjamin est donc le second grand meneur de l'entreprise et, en 1898, le commerce qu'il gère pour son père depuis onze ans, commence à porter son nom. Suivant la mort de son père en 1897, il fut joint par ses frères Charles et Joseph comme associés. Elle consistait alors d'un chantier de construction navale, d'une flotte de goélettes, d'un magasin, d'une scierie et d'un commerce d'expédition du bois. Suite à la mort de Benjamin en 1930, c'est Gilbert Belliveau qui gère les affaires de la compagnie. Durant sa gérance, la Compagnie Ben J. Belliveau s'est occupée principalement de l'expédition du bois. En plus, il opère à son propre compte, une ferme de renards dans les années 1938 à 1945. Urbain, Benjamin et Gilbert Belliveau étaient les dirigeants principaux de l'entreprise. Notons cependant que d'autres individus ont eu des parts dans la compagnie. Durant la gérance de Benjamin, ses frères aînés, Charles et Joseph, avaient des parts égales avec Ben et travaillaient dans autres rôles avec lui. Pendant la gérance de Gilbert, Wilfred à Ben et Charles à Urbain avaient tous des parts. Enfin à la mort de Charles en 1942, son testament lègue sa part de la compagnie également à ses deux fils Gilbert et Basile. Cet état est demeuré jusqu'à vers la mort de Gilbert en 1970 quant l'entreprise mis fit à presque toutes ses activites. La fonction de Wilfred fut toujours de garder le magasin. Basile le plus jeune et le dernier des associés, est arrivé au début des années trente après avoir contracté la tuberculose et il a dû s'occuper des comptes du bois.

Corporate body · 1968-

Le Conseil des Arts et d'Artisanat de Clare fut formé en 1968. Le premier président était Félix Thibodeau. Le but de ce conseil était de travailler au développement et à l'appréciation des arts et de l'artisanat sous toutes leurs formes dans la région de Clare. La Constitution cite que pour atteindre ce but, le C.A.A.C. travaille avec le Comité d'Éducation Adulte du C.S.A., la Division de l'Éducation de la N.-É. et la Commission Scolaire de Clare. Le Conseil des Arts a contribué à la création de la chorale de la Baie Ste-Marie, et la fanfare régionale de Clare. Le Conseil a aussi organisé plusieurs ateliers en peinture, poterie, photographie, céramique, macramé, tissage etc.

Corporate body · 1960-

Le 25 février 1960, un groupe de dames bénévoles se rencontrèrent au Collège Sainte-Anne pour discuter de la manière de rendre service à la Colonie de jeunesse acadienne (dorénavant C.J.A.). Ce camp d'été, fondé en 1959 par le Père Yvon Lanteigne, devait servir de camp-école d'éducation chrétienne et patriotique. Le camp d'été était aussi un agent de promotion de la langue française et de la culture acadienne à la Baie Sainte-Marie. Le 7 mars 1960, l'association des Dames Patronesses de la C.J.A fut formée. Le but principal de l'association était de travailler à l'avancement culturel et civique de la jeunesse acadienne. Au cours de la cérémonie menée par le Père Lloyd d'Entremont le 20 avril 1960, 112 dames devinrent membre de cette nouvelle association. Madame Edith Comeau-Tufts fut sa première directrice. Au fil des ans, les membres des Dames Patronesses s'occupèrent de prélever des fonds, faire des cueillettes, organiser des bingos, des ventes d'art et d'artisanat, afin de munir la C.J.A de cuisine, salle de jeux, piscine, aménager le chemin menant au site, etc. Les Dames Patronesses existent toujours. Aline Quinlan en est la directrice et l'association compte environ 150 membres. L'association se charge toujours de l'entretient de la C.J.A mais la directrice avoue que les temps ont changés. Il est difficile d'organiser des réunions puisque les femmes travaillent souvent à l'extérieur du foyer.